• Et pour quelques dollars de plus

     

     

      1965   Et pour quelques dollars de plus      
     Film

    Ennio Morricone

       
     

    Et pour quelques dollars de plus (Per qualche dollaro in più) est un western spaghetti réalisé par Sergio Leone en 1965.
    Ce film est le deuxième volet de la trilogie du dollar, qui comprend également Pour une poignée de dollars (Per un pugno di dollari, 1964) et Le Bon, la Brute et le Truand (Il buono, il brutto, il cattivo, 1966).

       
     

    Synopsis

    Deux chasseurs de prime recherchent le même criminel : l'Indien, d'abord séparément puis ensemble. Mais leurs motivations ne sont pas forcément les mêmes...

    L'Indien, bandit cruel et psychopathe, s'évade de prison avec la complicité de sa bande. Avant de quitter la prison, il exécute son compagnon de cellule et le directeur de la prison. Il tue en duel l'homme qui l'a livré, non sans avoir fait tuer juste avant la femme et le fils de ce dernier. Il annonce à sa bande qu'ils vont s'attaquer à la banque d'El Paso, connue pour être l'une des mieux gardées de l'ouest. En prison, il a connu un menuisier — le compagnon de cellule qu'il a tué avant de s'évader — qui lui a raconté que l'argent de la banque est principalement caché, non dans le coffre de la banque, mais dans un meuble qu'il a conçu pour dissimuler un autre coffre.

    Deux chasseurs de primes concurrents, le Manchot et le colonel Douglas Mortimer sont à la poursuite de l'Indien. Dans un premier temps, ils se jaugent en se provoquant mutuellement mais en évitant le duel. Ils décident finalement de faire équipe pour arrêter l'Indien et sa bande. Mortimer fait promettre au Manchot de lui laisser l'Indien. Le Manchot se fait recruter incognito dans la bande de l'Indien en faisant évader de prison Sancho Perez, un ami de l'Indien. Le lendemain, la bande de l'Indien attaque la banque d'El Paso pendant que les hommes de la ville sont partis vers Santa Cruz où le Manchot et trois membres de la bande étaient chargés de faire diversion en s'attaquant à la banque. En réalité, le Manchot élimine les trois autres et fait passer un message par télégraphe faisant croire à l'attaque à Santa Cruz.

    Après l'enlèvement du coffre-fort, la bande fuit dans le village d'Aguacaliente, où le colonel s'insère dans l'équipe en offrant ses services pour ouvrir le coffre et réclame la somme de 5 000 $ pour le travail fait. Mais les deux chasseurs de prime sont démasqués pendant qu'ils tentent de récupérer le magot et sont passés à tabac. Décidé à ne pas partager le magot avec ses acolytes, l'Indien élabore une mise en scène pour faire croire à une trahison d'un membre visant à faire évader les deux prisonniers. Les bandits se lancent à la recherche du Manchot et du colonel Mortimer. Les deux chasseurs de prime s'échappent et abattent les membres de la bande un à un, jusqu'à la confrontation finale avec l'Indien.

    Comme convenu, le Manchot laisse le colonel Mortimer affronter l'Indien en combat singulier. Sorti vainqueur du duel, le colonel Mortimer récupère dans la main de l'Indien la montre de gousset que l'Indien sortait régulièrement pour se bercer au son de sa musique. La scène finale du duel, rythmée par la petite musique des montres dorées permet de comprendre les motivations réelles du colonel : venger sa sœur qui s'est donné la mort alors qu'elle était violée par l'Indien, quelques années plus tôt. Le colonel Mortimer se contente de sa vengeance et laisse le Manchot récupérer tous les corps des bandits et toucher les primes...

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