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       1958   Un oranger sur le sol irlandais      
    Tubes Bourvil    
     

    Un oranger sur le sol irlandais/On ne le verra jamais/Un jour de neige embaumé de lilas/Jamais on ne le verras/Qu'est-ce que ça peut faire (bis)/Tu dors auprès de moi/Près de la rivière/Où notre chaumière/Bat comme un cœur plein de joie..."
    En cette fin des années 1950, cela fait un moment que le parolier E. Marnay et le compositeur E. Stern essaient de "vendre" une chanson qu'ils ont écrite et intitulée La ballade irlandaise. Mais aucun interprète ne veut l'inscrire à son répertoire. Sans doute parce que durant ces années où le rock déboule sur la scène et où se prépare la vague yéyé, cette chanson tendre parait anachronique à beaucoup. Lorsqu'il l'entend, le manager de Bourvil a l'idée de la faire chanter par son poulain.Idée saugrenue à première vue, car à contre-emploi de cet artiste qui avait habitué le public à des chansons drôles.
    Souvenez-vous : Les crayons, en 1946 ; La tactique du gendarme,en 1951 ;La fin des haricots,en 1952, etc. Bourvil hésite puis, séduit par la chanson, l'enregistre. L'effet de surprise est immense. Autant que le succès de cette chanson d'amour.
    On peut d'ailleurs voir un parallèle entre le thème de la chanson - l'impossibilité de voir un oranger pousser en Irlande - et la surprise d'entendre Bourvil interpréter une chanson qui, a priori, lui ressemble peu.
    Nous sommes en 1958, Bourvil est déjà une immense vedette. La radio l'a rendu célèbre grâce à ses sketches et à ses chansons, et le cinéma lui a déjà offert vingt-deux rôles. Lui qui rêvait d'être Fernandel, égale son maître au baromètre de la popularité.
    Pour faire durer ce succès, Bourvil a vite compris qu'il ne devait surtout pas jeter aux orties sa panoplie d'origine, il ne doit pas changer sa nature, ne doit rien renier. Il doit rester ce pétillant personnage naïf et roublard, habile et maladroit, rusé et lourdaud. Il y réussira à la perfection ! Et en inscrivant, comme un contre-pied, cette chanson à son répertoire, il prouva que la tendresse lui allait comme un gant !

       
     
    Un oranger sur le sol Irlandais Un oranger sur le sol irlandais, On ne le verra jamais. Un jour de neige embaumé de lilas, Jamais on ne le verra. Qu'est ce que ca peut faire ? Qu'est ce que ca peut faire ? Tu dors auprès de moi, Près de la rivière, Où notre chaumière Bat comme un coeur plein de joie. Un oranger sur le sol irlandais, On ne le verra jamais. Mais dans mes bras, quelqu'un d'autre que toi, Jamais on ne le verra. Qu'est ce que ca peut faire ? Qu'est ce que ca peut faire ? Tu dors auprès de moi. L'eau de la rivière, Fleure la bruyère, Et ton sommeil est à moi. Un oranger sur le sol irlandais, On ne le verra jamais. Un jour de neige embaumé de lilas, Jamais on ne le verra. Qu'est ce que ca peut faire ? Qu'est ce que ca peut faire ? Toi, mon enfant, tu es là !

     

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      1888   Gymnopédie N°1      
     Classique

    Erik Satie


       
     

    Les Gymnopédies sont trois œuvres pour piano composées par Erik Satie, publiées à Paris en 1888.

     

       

    Éric-Alfred-Leslie Satie, dit Erik Satie, est un compositeur et pianiste français né à Honfleur le 17 mai 1866 et mort à Paris le 1er juillet 1925. Associé un temps au symbolisme, mais inclassable, il a été reconnu comme précurseur de plusieurs mouvements dont le surréalisme, le minimalisme, la musique répétitive et le théâtre de l'absurde.

     
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      1888   Scheherazade      
     Classique

    Nikolaï Rimski-Korsakov


       
     

    Shéhérazade (en russe Шехерезада - Cheherezada) op. 35, est un poème symphonique de Nikolaï Rimski-Korsakov créé à Saint-Pétersbourg le 3 novembre 1888 dans le cadre des Concerts symphoniques russes.
    Deux ans après la mort de Rimski-Korsakov, Michel Fokine crée, le 4 juin 1910, une chorégraphie pour les Ballets russes, utilisant une compilation de l’œuvre originale du compositeur.

     

       

    Nikolaï Andreïevitch Rimski-Korsakov (en russe : Никола́й Андре́евич Ри́мский-Ко́рсаков, [nʲɪkəˈlaj ɐˈndrʲejɪvʲɪtɕ ˈrʲimskʲɪj ˈkorsəkəf] Prononciation du titre dans sa version originale Écouter, ISO 9 : Nikolaj Andreevič Rimskij-Korsakov), né le 18 mars (6 mars) 1844 à Tikhvine et mort le 21 juin (8 juin) 1908 à Lioubensk, fut avec Tchaïkovski l'un des plus grands compositeurs russes de la seconde moitié du xixe siècle. Il fit partie des cinq compositeurs appelés à créer « le Groupe des Cinq ». Il fut également professeur de musique, d'harmonie et d'orchestration au conservatoire de Saint-Pétersbourg.
    Il est particulièrement connu et apprécié pour son utilisation de thèmes extraits du folklore populaire ou des contes, ainsi que pour ses remarquables talents en orchestration, qui lui valent souvent le titre de « magicien de l'orchestre »1,2,3. Il eut une influence importante sur la plupart des compositeurs russes, mais aussi étrangers, de la fin du xixe siècle au début du xxe siècle. Ses œuvres les plus emblématiques sont Shéhérazade, Capriccio espagnol, La Grande Pâque russe, Le Coq d'or, La Légende de la ville invisible de Kitège et de la demoiselle Fevronia et Le Vol du bourdon.
    On peut citer le musicologue britannique Gerald Abraham à propos de la musique de Rimski-Korsakov :
    « il possède un style cristallin, fondé sur l'utilisation des couleurs instrumentales de chaque instrument de base, à travers un cadre clairement défini, une écriture et une orchestration issue de Glinka et Balakirev, Berlioz et Liszt. Il a su passer ces idées à deux générations de compositeurs Russes de Liadov, Glazounov, à Miaskovski, Stravinski et Prokofiev, qui furent aussi ses élèves, et son influence est évidente, bien que moins prononcée, dans la musique orchestrale de Ravel, Debussy, Dukas et Respighi4. »
    Le succès de sa musique, quand elle est proposée en concert, ne s'est jamais démenti. Si l'ensemble de ses œuvres est incontournable en Russie, ses opéras n'ont que peu percé en Occident, alors que sa musique symphonique est universellement saluée.

     
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